Avec un petit peu de retard, voici ma carte postale rochelaise avec les 20 films que j'ai découverts pendant le Festival cette année (voir Festival de La Rochelle). Auxquels il faudrait ajouter les 4 films que j'ai revus avec plaisir : 1 spécialité norvégienne ("Kitchen stories" de Bent Hamer) ainsi que 3 de mes Doillon préférés ("Le Petit criminel", "Le Jeune Werther", "Le Premier venu").
Eh oui Doillon est un des cinéastes que j'aime le plus. Ses films sont souvent filmés de façon virtuose, mais je dois reconnaître que les dialogues jouent aussi un grand rôle. Et cela me fait méditer : si au cinéma j'aime beaucoup le travail sur les images en mouvement (voir des films muets est souvent un ravissement), je dois dire que certains de mes cinéastes préférés (Woody Allen, dont il ne faut pas rater la dernière fable "Whatever works", Joseph Leo Mankiewicz, Jacques Doillon...) sont aussi des grands cinéastes de la parole. Peut-être les films d'aisance orale sont en quelque sorte des films fantastiques pour moi. Cela dit, je n'ai pas d'explication définitive.
Si pour la 8è année consécutive j'ai continué la tradition du bilan rochelais en quelques lignes par film (avec l'aide du catalogue qui présente le début du synopsis de chaque film), j'ai interrompu depuis 4 mois environ mes résumés-critiques sur les films contemporains. Cela me demandait trop d'efforts. Mais j'ai continué à aller au ciné. Si j'ai beaucoup aimé deux valeurs sûres ("Etreintes brisées" d'Almodovar et "Whatever works" d'Allen), j'ai aussi apprécié "Coraline" (j'ai "compensé" le fait de ne pas avoir vu "Les noces funèbres" de Tim Burton).
Le temps me manque, mais il faut pourtant écrire quelques mots de "Adieu Gary", car c'est une première oeuvre magistralement filmée (avec Jean-Pierre Bacri en guest star), sortie il y a deux semaines. La caméra est aérienne, même les silences ne sont pas pesants, ceux qui aiment le cinéma doivent aller le voir. La très bonne surprise du moment.
A bientôt,
Laurent
Eh oui Doillon est un des cinéastes que j'aime le plus. Ses films sont souvent filmés de façon virtuose, mais je dois reconnaître que les dialogues jouent aussi un grand rôle. Et cela me fait méditer : si au cinéma j'aime beaucoup le travail sur les images en mouvement (voir des films muets est souvent un ravissement), je dois dire que certains de mes cinéastes préférés (Woody Allen, dont il ne faut pas rater la dernière fable "Whatever works", Joseph Leo Mankiewicz, Jacques Doillon...) sont aussi des grands cinéastes de la parole. Peut-être les films d'aisance orale sont en quelque sorte des films fantastiques pour moi. Cela dit, je n'ai pas d'explication définitive.
Si pour la 8è année consécutive j'ai continué la tradition du bilan rochelais en quelques lignes par film (avec l'aide du catalogue qui présente le début du synopsis de chaque film), j'ai interrompu depuis 4 mois environ mes résumés-critiques sur les films contemporains. Cela me demandait trop d'efforts. Mais j'ai continué à aller au ciné. Si j'ai beaucoup aimé deux valeurs sûres ("Etreintes brisées" d'Almodovar et "Whatever works" d'Allen), j'ai aussi apprécié "Coraline" (j'ai "compensé" le fait de ne pas avoir vu "Les noces funèbres" de Tim Burton).
Le temps me manque, mais il faut pourtant écrire quelques mots de "Adieu Gary", car c'est une première oeuvre magistralement filmée (avec Jean-Pierre Bacri en guest star), sortie il y a deux semaines. La caméra est aérienne, même les silences ne sont pas pesants, ceux qui aiment le cinéma doivent aller le voir. La très bonne surprise du moment.
A bientôt,
Laurent
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